BBL, une pratique dangereuse en vogue ?

Pratique en vogue dans la société africaine, le Brazilian lift butt (BBL) encore connue sous le nom de lifting Brésilien, consiste à se gonfler les fesses pour avoir l’apparence rêvée. Seulement, cette métamorphose physique n’est pas sans danger pour la santé de la personne qui consent à se refaire le corps en vue de plaire.

Je suis jeune avec des formes naturelles peu généreuses, ai-je vraiment besoin de me refaire les parties intimes ? C’est la question que se posent plus d’une femme en quête de solutions miracles pour être vues comme des perles. Pourtant elles devraient se poser froidement une question. Quels peuvent être les risques encourus pour devenir la plus belle ? […]

BBL, attention danger

Cette méthode qui consiste à dégraisser une partie du corps pour en injecter dans la partie désirée, est aujourd’hui la hantise de la majorité des femmes en Afrique. Les parties les plus sollicitées sont le fessier, le ventre et les hanches. Malgré ce rendu impeccable qui éblouit ces femmes à la fin de chaque pratique, cette opération ne demeure pas moins dangereuse à bien des égards.

Selon une étude de la société internationale de la chirurgie esthétique plastique, « 1 personne sur 3 000 meurt après avoir subi le Brazilian Lift butt(BBL) depuis 2017 ». C’est ce que révèle le Dr. Jim Frame,chirurgien spécialisé en esthétique. Ce qui en fait l’une des opérations de chirurgie les plus meurtrières au monde. Une complication liée à la réinjection en quantité excessive de graisse. Cela peut entraîner dans des rares cas, une embolie graisseuse pulmonaire.

Les réseaux sociaux à l’origine de cette mode peu recommandable ?

Depuis quelques années, en parcourant les réseaux sociaux, fort est de constater que dans la société africaine beaucoup de jeunes femmes s’arrachent cette opération pour paraître parfaites aux yeux de leurs communautés sur leurs différentes plates-formes. La ruée vers le meilleur profil sur les réseaux étant entrevue comme un catalyseur de suiveurs. Lire plus sur gabonmediatime.com