Les végétariens seraient plus sujets à la dépression

Une étude, menée sur plus de 15 000 volontaires par des chercheurs espagnols de l'université de Las Palmas pendant 10 ans, démontre qu’une alimentation riche en fruit et légumes et noix parviendrait à protéger contre la dépression. Par contre, l’étude révèle également que les végétariens seraient plus sujets à faire des dépressions.

Un lien entre alimentation et dépression

Les consommateurs s’en doutaient, les scientifiques l’ont confirmé. Verdict, les participants qui durant cette expérience ont suivi un régime méditerranéen (beaucoup de légumes, de fruits, d’huile d’olive, de poisson et peu de viande) ont consommé moins d’antidépresseur que les autres. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Un constat qui semble être confirmé par une autre étude américaine cette fois. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais. Reste deux inconnus, quelle est la quantité optimale à consommer et quel est le type de poisson à privilégier, les scientifiques n’ont pas fini de scruter nos assiettes.