9 bonnes raisons de faire l`amour sans pénétration

Faire l’amour, c’est souvent l’entrée (les préliminaires), le plat (la pénétration) et le dessert (l’orgasme). Parfois, on ne prend pas de dessert (on n’a pas toujours le choix) et c’est très bien quand même. Mais pourquoi on ne s’amuserait de temps à temps à zapper la pénétration ? Juste des préliminaires pour un maximum de plaisir. 

9 bonnes raisons de vous amuser sans plat de résistance (et sans crever de faim).

1. On peut faire des cochonneries partout

Dans la baignoire ou dans les toilettes du grand restaurant où notre tante Odette fête ses 60 ans, on a du mal à trouver la position adéquate pour faire l’amour. Se contenter de caresses et préliminaires permet de s’éclater dans un lieu étroit et on ne complexe pas de ne pas être habile en escalade et autres pirouettes.

2. Ça dure longtemps

Quand le rapport sexuel n’est fait que de préliminaires, il peut durer très (très) longtemps. Car si on joue du sexe de l’autre, on peut se concentrer trois minutes plus tard sur son cou et son visage et laisser l’excitation monter davantage. Disons que le coït, une fois lancé, n’invite pas toujours à faire de pause tellement on aime ça. Du coup, l’orgasme arrive plus vite.

3. Je veux rester vierge

Faire l'amour pour la première fois est une grande étape. Et avant de la franchir, découvrir son corps et celui de son partenaire est très agréable et permet d'y aller en douceur. Si on ne sent pas encore prête ou prêt à abandonner sa virginité (pour la raison de son choix), on peut profiter de quelques préliminaires avant d'aller plus loin.

4. On n’a pas de contraceptif sur nous

Une vraie et bonne raison de zapper la pénétration, c’est l’absence de préservatif sur soi. Et parce qu’on a très envie l’un de l’autre et qu’il serait dommage de se priver, on peut profiter de nos corps quand même. Attention cependant à la fellation sans capote : le risque de contamination d’infections sexuellement transmissibles existe.

5. On se concentre (vraiment) sur les zones érogènes

L’amour sans pénétration, c’est un peu penser : puisqu’il n’y a pas pénétration, faisons avec tout le reste. Et c’est dans cette recherche du plaisir avec "tout le reste" qu’on découvre le corps de l’autre dans ses moindres recoins. Toutes les zones érogènes y passent, chez l’un comme chez l’autre, et c’est génial de les titiller, les apprivoiser et les retenir.

6. On apprend à se connaître au lit

Au-delà des zones érogènes que l’on découvre davantage, l’amour sans pénétration aide - notamment au début d’une histoire - à comprendre le corps de l’autre, ses envies, ses réactions. Car si les préliminaires préparent à la pénétration, ils préparent aussi à "l’entente sexuelle". Deux corps mettent du temps à s’accorder et c’est en prenant le temps de les explorer qu’ils trouvent la bonne partition. C’est comme ça que les relations se bonifient.

7. On a davantage d’imagination

Au premier abord on peut se dire : quoi, l’amour sans pénétration ? Mais que va-t-on faire ? Seulement avec nos mains ? Et très vite, on s’ouvre à de nouvelles idées. On utilise des sextoys, on change d’endroits dans la chambre ou la maison histoire de pimenter cette séance de préliminaires amoureux ou encore on se dit des mots cochons. Quelque part, l’amour sans pénétration peut parfois paraître inutile et c’est ainsi qu’on apprend à en faire quelque chose de magique (et on ne s’en passe plus).

8. On fait monter le désir et on maintient l’autre en chasse

On peut aussi décider d’envoyer valser la pénétration pour jouer. C’est le bon moyen de frustrer (légèrement et positivement) notre partenaire qui aura très envie du plat de résistance au prochain coup. Et puis, ça nous frustre aussi. Au final, on fait monter le désir de chacun et c’est une très bonne chose.

9. C’est bon pour le moral

Pendant l’amour, et même l’amour sans pénétration, on libère des endorphines. Ces neurotransmetteurs procurent une sensation de bien-être. Alors aucune raison de se priver de caresses puisque se toucher permet aux deux partenaires de se faire du bien quoiqu’il arrive. Au-delà des endorphines, on libère également de l’ocytocine (hormone de l’attachement), de la dopamine (elle rend euphorique) et de la sérotonine (qui booste l’humeur positivement). Un cocktail au top.

 

 

Source : autre presse