Comment parler sexualité à un médecin sans être gêné

Discuter de sexe avec une personne qui ne partage pas notre intimité est parfois désagréable. Mais quelques astuces permettent de se sentir plus à l’aise.

Comment parler sexualité à un médecin sans être gêné

Pas facile d’avouer à son médecin qu’on a peur de souffrir d’une infection sexuellement transmissible (IST) suite à un rapport non protégé. Ou de lui montrer une verrue génitale. Toute conversation touchant le sexe avec une personne dont on ne partage pas l’intimité peut être gênante. Pourtant, notre santé est en jeu. Répondre honnêtement aux questions des professionnels de santé, ainsi que se faire examiner, permet de maintenir une bonne santé sexuelle.

Pour aider les patients et patientes vraiment mal à l’aise, le site Medical Xpress propose quelques astuces : savoir à quoi s’attendre, et ne pas oublier que rien n’étonne un médecin. Les informations que vous donnez sont indispensables pour connaître les éventuels risques auxquels vous avez été exposé et pour effectuer les tests nécessaires. Attendez-vous donc à des questions visant à connaître la fréquence de vos rapports sexuels, la durée de votre relation de couple, le type de rapport et de pénétration, le nombre de partenaires ainsi que leur genre, l’utilisation de contraceptifs et les antécédents en matière d’IST.

Demander l’aide d’un ami

En fonction de vos réponses, vous aurez peut-être besoin de passer un test d’urine, de prélever un échantillon de sécrétion vaginales, de subir un examen approfondi ou de faire un test sanguin. Là non plus, aucune gêne à avoir, rappellent les spécialistes. Si vous n’êtes pas épilé et si vous ne sortez pas fraîchement de la douche, n’ayez pas honte : les médecins ont l’habitude de pratiquer toute sorte d’examen et ne vous jugent pas, ils veulent simplement s’assurer que vous êtes en bonne santé. Lire plus sur santemagazine.fr