Mon époux a ramené sa maitresse dans notre lit conjugal

Quand tu tombes amoureux (se) d'une personne, tu deviens aveugle. Ce fût mon cas à moi. Moi qui, avait mis toute ma confiance en l'amour de mon tendre époux. Malheureusement, je fus effondrée par une grande déception.

J'étais médecin, et mon mari un cadre de banque. Nous vivions l'amour sincère.

Malgré, mes nombreuses occupations, je m'attelais toujours à rester à ses côtés, en lui consacrant du temps et prenant soin de lui. C'était vice-versa.

Nous avions eu quatre (4) jolis enfants. C'était magnifique et extraordinaire ce qu'on vivait. On vivait dans l'opulence, les moyens étaient à notre portée.

Mais, les choses vont basculer le jour où mon chéri commença à fréquenter des collègues de son lieu de travail.

Il sortait tout le temps et rentrait tard au domicile. Une fois, ayant pris mon courage à deux mains, je lui demandai, pourquoi une telle attitude si étrange à mon égard. Il répliqua que c'était juste un "after work" (sortie d'échanges autour d'un verre) entre les amis du service.

Après plusieurs discussions sur ce sujet, il avait stoppé les sorties entre lui et ses collègues.

Ce fût un grand plaisir pour moi car, j'avais retrouvé mon époux à mes côtés.

Il me promit de ne plus recommencer. Mon travail m'occupait tellement, que je ne rentrais pas vite à la maison. La servante gérait la nourriture et les enfants à mon absence.

Les jours où je ne travaillais pas , je m'occupais moi-même de mon foyer. Un jour je décidai d'annoncer à mon époux que je n'allais pas rentrer à la maison parce que mes charges professionnelles, étaient énormes.

Il acquiesça de la tête. En français simple, ça signifie qu'il avait donné une suite favorable à ma demande.

C'est en ce moment là, que mon mari le banquier va me poignarder dans le dos. A l'accoutumée, quand j'entrai à la maison, je frappai au portail. Souvent j'appelais directement la fille de maison pour ne pas déranger mon prince charmant.

Ce jour-là, la porte était à moitié ouverte, quand je fis mon entrée soudaine comme un voleur qui cherchait à dérober tout sur son passage. J'entrai tranquillement tout en étant inquiète de cette ouverture. Je me dirigeai tout droit vers la chambre conjugale.

Je fis une entrée brusque, je vis mon mari et une étrangère couchés paisiblement dans le lit sans aucune gêne.

Surprise et étonnée, je demandai bien à mon mari ce que la femme faisait dans notre lit. Ne pouvant pas répondre à cette question, mon époux libéra la femme, qui prit la fuite.

Effrondrée, je me mis en train de pleurer toutes les larmes de mon corps. Je venais de me faire cocufier.

Je fus saisie par une étrange fraicheur. Le pire des cauchemars c'était réalisé dans mon foyer.

Moi qui, pensait pas que mon époux fréquentait une maîtresse avec tout ce que je lui offrait comme amour et mon temps à son égard.

 

Toutes ces années venaient d'être gâchées avec un homme en qui j'avais mis toute mon estime et ma confiance.

Mon mari se confondit en excuses. Il fût très vite projetté à quelques mètres.

En aimant aveuglément, voilà où j'ai fini cet amour, dans l'air.