Age et infertilité : comment évolue la fertilité féminine au cours des années ?

Par définition, la fertilité désigne l'aptitude à se reproduire. Chez la femme, elle diminue naturellement avec l'âge bien qu'il existe d'autres causes d'infertilité comme des malformations de l'appareil reproducteur par exemple.


La période la plus propice pour concevoir rapidement un enfant de manière naturelle est comprise entre 20 et 35 ans. C'est là que la fertilité féminine est à son "maximum", à moins d'un problème de santé particulier bien sûr. A noter qu'il est tout à fait possible d'avoir un enfant plus jeune, mais que les grossesses très précoces sont déconseillées, en raison du risque de complications.

A partir de 35 ans, la fertilité féminine commence à baisser
Comme dit plus haut, l'âge fait partie des causes d'infertilité féminine. Notamment parce que le nombre d'ovules "défectueux" augmente de plus en plus. En conséquence, il devient à la fois plus difficile de tomber enceinte naturellement et de mener une grossesse à terme. Les premières difficultés apparaissent à partir de 35 ans.

43 à 50 ans : la période la plus délicate pour concevoir
Entre 43 et 50 ans, la fertilité diminue drastiquement. C'est là qu'il est le plus difficile de concrétiser son désir d'enfant, même en faisant appel aux techniques de procréation médicalement assistée. Toutefois, des grossesses spontanées restent quand même possibles. Du moins jusqu'à ce que la ménopause, rimant avec "infertilité féminine totale", se mette en place vers 50 ans.