Le khôl, plus qu`un simple crayon noir

Pour se dessiner un oeil de biche, le crayon Khôl est l'accessoire indispensable. Simple d'utilisation, il permet toutes les fantaisies maquillage et sublime le smoky. Objet à la fois mystique pour certaines cultures ou encore protecteur, il révèle et souligne notre regard en un seul trait.

Le khôl, comment l'utiliser ?

Nude et délicatement travaillé, tout est dans le regard ourlé au crayon Khôl. Après avoir réalisé la base du maquillage, à savoir le travail du teint, il est temps de passer au regard. Attention, ce maquillage est déconseillé aux petits yeux car il aurait tendance à les faire paraître encore plus petits et même à donner l'illusion de les rétrécir.

Le crayon khôl ne nécessite pas des heures de cours de maquillage pour en maîtriser le bon geste. Si vous avez l'habitude de poser un eye-liner, vous ne verrez guère de différence. Cependant, le crayon khôl glisse mieux sur la paupière en raison de sa texture fondante.

Avant toute application du crayon khôl, taillez-le pour avoir plus de précision. Pour agrandir votre regard, placez le crayon khôl au milieu de votre paupière supérieure, au ras des cils, et tracez vers l'extérieur de la paupière, sans trop appuyer pour obtenir le trait le plus fin possible. Pour un œil de biche très séducteur, relevez la pointe de votre trait vers le haut. Il existe des crayons khôls blancs qui agrandissent encore plus le regard en une simple touche dans les bords internes des yeux.

Pour un regard très intense, n'hésitez pas à apposer directement le khôl sur la muqueuse.

Les différentes manières d’appliquer du khôl

Il existe différentes façons d’appliquer son khôl selon le résultat souhaité :

- A l’oriental soit dans la muqueuse à l’intérieur de l’œil pour faire ressortir le blanc des yeux.

- Sous les cils du bas, en réalisant un trait fin de khôl, pour intensifier et souligner son regard.

- A la racine des cils sur la paupière mobile, légèrement estompé à l’aide d’un pinceau fin ou d’un coton-tige pour obtenir un regard charbonneux.

 

 

Yolande Jakin